





Moi je n'aurais jamais pensé que cette gonze puisse être aussi cochonne. Ou du moins aussi ouverte au cul… En la voyant assise sur son banc toute seule, je ne pouvais que la cueillir et l'inviter à boire un coup à la maison. L'air de rien, je lui demande d'enfiler un petit top léopard de pure traînée, ce qu'elle accepte sans hésiter. Ainsi accoutrée, elle ressemble à la pire peste possible, et sent même sa culotte s'imbiber de cyprine. Je lui tends mon braquemart pour qu'elle le goûte, et pour lui apprendre à lécher correctement une belle verge raide. Il lui faut ouvrir grand son gosier pour encaisser les coups de pilon que je lui balance, mais elle tient le coup, la blondinette ! Son petit jean moulant me fait trop bander : je ne l'enlève même pas et le baisse juste un peu pour la pénétrer en levrette comme une dévergondée. Elle pousse des couinements suraigus mais rien n'y fait : je dois démonter cette poupée dans tous les sens ! Et cette jolie innocente blonde qui attendait toute seule sur son banc, vous allez voir son bonheur quand je la sodomiserai !